Archive forLune de miel

De retour à la maison

Voilà notre voyage de noces achevé. Nous sommes arrivés à Saint-Pierre, en passant par dessus chez nous, par un ciel dégagé.
Jeunes mariés sur la plage

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Acheter des coquillages à l’aéroport

La vendeuse nous confirme qu’on a bien fait de ne pas acheter de coquillage sur la plage et que grâce au ticket de caisse prouvant notre achat à l’aéroport, on n’aura pas de problème. De plus, les tarifs affichés sont bien inférieurs à ceux annoncés par le vendeur à la sauvette. Malheureusement, rien ici ne nous intéresse et les coquillages sont bien plus petits.

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Transfert à l’aéroport

Comme à l’aller, un taxi assure notre transfert. En discutant avec lui, on apprend qu’il ne reçoit que 700 Rs. sur les 2500 Rs. que nous donnons à l’agence pour ce service. Si on fait directement appel à lui, ça nous coûte seulement 1300 Rs.
En route, on passe par son village, l’Escalier, puis devant chez un ébéniste à qui il devait remettre un modèle de balustre pour la rambarde en teck de son escalier, chez lui.
Cette fois, on a pu profiter du paysage, contrairement à l’aller où nous étions trop fatigués.

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Faire les valises pour le départ

Comme toujours, nous sommes touchés par le syndrome des valises pleines. Surtout en ce moment où nous avons troqué nos costumes de cérémonie pour des vêtements légers de plage. Fort heureusement, nous avions emporté un sac supplémentaire qui servira à transporter nos nombreuses paires de chaussures (et la bouteille de Nicolas Feuillate). Malgré ça, il nous faudra emporter nos costumes avec nous dans la cabine, enroulés dans une serviette de plage et glissés dans un cabas en carton Nautica.
Caroline n’a pas réussi à laisser les petits flacons à moitié-vides dans la salle-de-bain, alors il faudra porter à la main chapeau et imperméable.
En quittant la chambre, on laisse nos affaires dans l’entrée pour le bagagiste. Il faut que nous passions à la réception régler les quelques 15,000 Rs. de frais d’étage, de préférence avec l’argent que nous avons changé et dont on ne s’est pas servi.

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Récupération des photos

Cette fois, les index sont là, ainsi que les pellicules, au bureau de la relation clientèle. Toute l’équipe est là qui a participé à notre aventure. Comme on s’y attendait, la qualité est moindre comparée à celle du travail de Benji. Si ça se trouve, on reviendra l’an prochain pour fêter notre première année de noces et cette fois, on fera appel à ses services. Caroline projette même de remettre sa robe et tout le tralala.

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Un dernier petit-déjeuner mauricien

Parce qu’on ne pourra rien manger de conséquent pendant 3h00 et surtout parce que ce petit-déjeuner est le dernier de nos vacances, Caroline et moi en profitons le plus possible : crêpes à la banane et au chocolat, gaufres au miel, charcuteries (pas trop), galette de pomme de terre, bacon, omelette, saucisses de poulet, thé, bien sûr, et nectar de mangue. Hum, le dernier a toujours un goût de pas assez.

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Dîner en amoureux au Blue Marlin

Pour terminer en beauté notre lune de miel, nous avons réservé une table en terrasse au magnifique restaurant qui s’ouvre sur la plage. Arrivés pile à l’heure (c’est vraiment à deux pas de notre chambre n°101), nous avons en plus la possibilité de choisir notre table, alors nous nous plaçons face au ponton, une situation de rêve.
Ce soir, nous nous permettons des folies, alors nous optons pour le menu du chef, après un cocktail à base de rhum Chatel produit localement. Chaque plat est un délice, tant pour les yeux que les papilles.
Le pianiste s’est mis à jouer au moment où nous arrivions et s’est arrêté juste quand nous partions : nous n’aurons rien perdu de son spectacle.
En quittant le restaurant, après 2h30 d’un excellent moment, nous esquissons une balade; dans le vent, sur le ponton des pêcheurs avant de regagner au plus vite notre chambre. Caroline a passé une bonne soirée, ouf !

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Seconde séance de photos

C’est un peu du réchauffé, mais après tout, hier non plus ce n’était pas de l’authentique et pourtant, on s’est bien amusé.
À nouveau en costumes, nous essayons de rejouer les scènes de la veille, comme une petite troupe de théâtre. Cette fois, le photographe prend des précautions, en photographiant à la fois en argentique et en numérique sur ma carte Compact Flash de 128 Mo qui peut recevoir 70 photos en haute résolution. Ça rassure un peu, mais Caroline est toujours tendue.
Les gens que l’on croise nous félicite toujours autant, même si certains doivent quand même se poser des questions. La rencontre la plus épique est sans doute cette avec les sud-africaines qui nous ont communiquer un peu de leur bonne humeur.
De retour à la réception, au terme de la séance au coucher du soleil, on prend contact avec Benjamin qui ne tarde pas à arriver. Il nous promet un développement des deux pellicules pour demain matin, grâce à son copain qui tient un laboratoire de développement. Au cas où, j’ai déjà la carte CF pleine dans la poche.
Jeunes mariés devant la piscine

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Rendez-vous avec le photographe

Grosse déception cette après-midi, quand nous apprenons que le photographe a perdu toutes les photos en sur-impresionnant la première pellicule !
De retour à l’hôtel, Brenda du service relation clientèle nous propose de recommencer la séance ce soir-même. Caroline n’est pas prête à reprendre la coiffure et le maquillage, mais la chargée de relation nous propose de prendre les frais à sa charge et d’intervenir pour qu’on puisse avoir une maquilleuse, alors que tous les créneaux sont pris. Benjamin qui a un mariage à couvrir ce soir, nous fait envoyer un second photographe vers 16h30.
On est partant pour recommencer, même si évidemment, ce ne sera plus pareil. Alors je cours à la chambre chercher le diadème de ma femme et préparer sa robe. J’étale la robe elle-même, je glisse les baleines dans le jupon que je répartis bien, je nettoie les chaussures, je frotte quelques tâches de terre au bas de la traîne et je choisis les sous-vêtements de madame.
Mes gestes sont précis et posés, mais pour Caroline, l’après-midi va être tendue.

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Acheter des coquillages sur la plage

Même si les vendeurs qui pullulent sur la plage vous diront le contraire, il est interdit d’acheter des coquillages avec eux, pour des raisons évidentes de protection du lagon (information confirmée par notre correspondante Beachcomber). Dommage, j’ai failli être tenté.
Peut-être en trouverons-nous dans une boutique gouvernementale à l’aéroport ? Mais l’idéal serait que Philippe soit avec nous pour nous aider à estimer le prix des coquillages.

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