C’est un peu du réchauffé, mais après tout, hier non plus ce n’était pas de l’authentique et pourtant, on s’est bien amusé.
À nouveau en costumes, nous essayons de rejouer les scènes de la veille, comme une petite troupe de théâtre. Cette fois, le photographe prend des précautions, en photographiant à la fois en argentique et en numérique sur ma carte Compact Flash de 128 Mo qui peut recevoir 70 photos en haute résolution. Ça rassure un peu, mais Caroline est toujours tendue.
Les gens que l’on croise nous félicite toujours autant, même si certains doivent quand même se poser des questions. La rencontre la plus épique est sans doute cette avec les sud-africaines qui nous ont communiquer un peu de leur bonne humeur.
De retour à la réception, au terme de la séance au coucher du soleil, on prend contact avec Benjamin qui ne tarde pas à arriver. Il nous promet un développement des deux pellicules pour demain matin, grâce à son copain qui tient un laboratoire de développement. Au cas où, j’ai déjà la carte CF pleine dans la poche.